| ANCIEN SAVONA ou BLANC
EST BLEU Le décorum fut introduit l'autour de la moitié du XVII siècle, de la famille des Guidobono à dont souche Giovanni se fait remonter la définition à l'obscurité claire du turchino monochrome typique. La graphique est constituée par la représentation de l'illustration humaine placée fondamentalement dans un paysage presque toujours réalisé par un étage premier avec des buissons roches végétales et petites et d'un second étage avec des prés, arbres, quelque maison ou un château stylisé et d'un étage de fond avec des montagnes, nuages et parfois oiseaux en vol stylisé. La scène représente épisodes bibliques, mythologiques ou littéraires représentés en presses en reprenant aussi comme modèle les illustrations des livres. Et réalisé sur faïence blanche ou azurée en monochromie bleue (de tonalités différentes qu'avec le temps ils deviennent une caractéristique des boutiques artisanales différentes) mais aussi plus rarement en rose monochrome ou en policromia.
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CALLIGRAPHIQUE NATURALISTE Introduit dans la première moitié du XVII siècle dans les usines d'Albissola et Savona, le décorum reprend les motifs des porcelaines de Chine typiques en usage pendant le royaume Wan-ils de la Dynastie Ming. Sa dénomination est due à la technique spéciale de peinture, c'est-à-dire au signe presque calligraphique qui délinée le dessin et aux sujets à caractère généralement naturaliste d'animaux et végétaux. En particulier, en temps suivants, aux sujets originaux de lièvres, faons, chiens et oiseaux entre herbe, fleurs et palmiers, motifs occidentaux furent superposés quel châteaux, clochers, églises et illustrations humaines entre les cyprès. La réalisation est sur faïence blanche ou azurée initialement en monochromie bleue et puis de plus en plus souvent en policromia, avec les couleurs vert, orange, bleu et jaune au cours de la production historique. |
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DéCORE BOSELLI Dans la deuxième moitié du XVIII siècle le céramiste Giacomo Boselli produisit un grand numéro de céramiques en reprenant un décorum as floraux en vogue à Strasbourg, à Marseille et aux Éloges; d'ici la dénomination elle est née utilisée à l'Albissola pour indiquer cette typologie spéciale. La décoration d'un objet fait pivot sur une liasse de fleurs dominée d'une tulipe ou d'une rose à laquelle ils font contour quelques autres fleurs de petites dimensions (normalement pâquerettes); le reste surface est parsemée de quelque petit groupe de petites fleurs et de fogliette ou de quelques petites feuilles seulement (d'ici l'autre dénomination du style comme indiqué comme "floral"). Je donne le caractère central des fleurs, la réalisation est presque toujours sur faïence blanche en policromia et plus rarement en monochromie verde. |
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LEVANTINO Ce décorum exécuté aux plus couleurs ou seulement en manganèse (couleur entre l'obscurité marron et le violet), il est constitué éclaboussé par le dessin de personnages minuscules et animaletti mais aussi d'éléments paysagers comme maisons de paysans, arbrisseaux, mer, bateaux à voiles, etc… il Résulte très diffus dans les faïences du siècle plein XVIII appliqué à tout champ, ou d'ici réserves découpées sur fond violet de manganèse (aussi bleu et jaune) étendu à épongé ou aux coups de pinceau robustes. La typologie aux réserves est d'influence orientale claire (le formulaire des places est d'origine chinoise) pendant que les représentations dérivent de gravures françaises. La réalisation est faite toujours sur faïence blanche. Son nom dérive de la famille de céramistes, les Levantino, actifs artistiquement en Savona et en Albissola de la deuxième moitié du siècle et pour tout le XVIII siècle, qu'ils surent le réaliser avec grand maestria. |
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UCCELLI
E PREZZEMOLO Introduit dans le plein du XVIII siècle dans les usines d'Albissola et de Savona, le décorum est repris de la céramique de la famille verte chinoise et de la famille Kakiemon où pour l'occasion les fleurs orientales classiques ont été remplacées avec le persil (considéré aussi le grand usage de type il plante en Liguria). Les sujets sont oiseaux posés sur branches d'arbrisseaux que présente feuilles semblables à la feuille du persil ou voletants en ciel. Et réalisé en policromia vif (vert, orange, jaune, bleus, marron) sur faïence blanche. Contrairement à les autres styles il est absent une typologie monochrome et il est de l'absent tout à l'intérieur du décorum tout autre sujet que je ne sois pas constitué par cet oiseau polychrome du long bec et des longues et exils zampe. |
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CERAMICA NOIRE ET JAUNE
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